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L'EMPIRE DE CHARLES QUINT
L'Aragon ne dépassait guère 1 200 000 habitants.
La Castille était alors beaucoup plus proche de l'État moderne que l'Aragon
: cela veut dire que l'évolution de ses institutions allait dans le sens du
renforcement du pouvoir central, de l'emprise du roi sur ses sujets.
En apparence, la Castille avait des institutions représentatives proches de
celles de l'Aragon : les Cortès formaient une assemblée où siégeaient
des représentants des trois états, noblesse, clergé et villes. Ces Cortès
avaient un rôle financier important puisqu'elles votaient les servicios
demandés par le souverain de manière assez régulière et puisqu'elles
élaboraient, avec les représentants du roi, les règlements et modalités de
l'alcabala, principal impôt du royaume; elles avaient un rôle
législatif notable car elles présentaient des pétitions (sous forme de
cahier) qui étaient examinées par le gouvernement royal et qui très souvent
donnèrent lieu à textes légistatifs (ordonnances, cédules, provisions,
etc.).
- parce que ni les textes ni la coutume n'avaient prévu de périodicité des
réunions. Les Cortès n'étaient convoquées que lorsque le souverain le
voulait. Avec Charles Quint ces convocations furent assez fréquentes et
relativement régulières : 15 fois durant le règne.
- parce qu'aucun texte n'obligeait le monarque à tenir compte des pétitions
des Cortès.
- parce que, sous prétexte que le rôle des Cortès était souvent fiscal, les
nobles et le clergé qui prétendaient n'avoir pas de devoir fiscal
répugnaient à venir et pratiquaient l'absentéisme. A tel point qu'elles ne
furent plus convoquées après 1539. En fait, nobles et prélats préféraient
participer au gouvernement en tant qu'hommes du roi (au sein des Conseils ou
des Audiencias) Mais les uns et les autres étaient seigneurs de villes ou de
vastes territoires (par exemple, les Medina Sidonia en Andalousie; les
Enriquez, Amiraux de Castille, en Vieille Castille) : dès lors, ces villes
et territoires ne furent plus représentés aux Cortès; pas plus que les
grands domaines des trois ordres de chevalerie (Santiago, Alcàntara,
Calatrava) dont les Rois catholiques s'étaient adjugé les maîtrises.
En fait, cette situation privilégiait les régions qui avaient dirigé la
Reconquête, elle correspondait à une réalité.
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